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Tuesday, February 25, 2014

كنفرانس در انستيتو نوبل اسلو با حضور رئيس جمهور برگزيده مقاومت مريم رجوي

فراخوان به اتخاذ موضع قاطع و تصميمات لازم الاجرا عليه نقض وخيم حقوق بشر در ايران واقدام فوري براي تأمين امنيت و سلامت ساكنان ليبرتي
روز دوشنبه 5اسفند (24فوريه) كنفرانسي تحت عنوان «ايران – حقوق بشر – سياست غرب، اقدام عاجل براي ساكنان كمپ ليبرتي» به دعوت گروههاي دوستان ايران آزاد در كشورهاي نورديك در مركز انستيتوي نوبل در اسلو تشكيل شد. خانم مريم رجوي، آقايان بوندويك نخست وزير سابق نروژ، گيرهارد نخست وزير سابق ايسلند، پاتريك كندي، نمايندگان احزاب نروژ، كيمو ساسي، نماينده پارلمان، سارا اوكانون، رئيس زنان دموكرات مسيحي در اين كشور، هيأت دانماركي به رياست كريستين لوند، عضو سابق پارلمان دانمارك، لارش استاگسن، نماينده پارلمان سوئد و كنت اولسون، يك قاضي از اين كشور، يوكو كاله، عضو پارلمان استوني، در اين كنفرانس شركت و سخنراني كردند.
شركت كنندگان به اتخاذ موضع قاطع و تصميمات لازم الاجرا عليه نقض سيستماتيك و وخيم حقوق بشر در ايران و اقدام فوري براي تأمين امنيت و سلامت ساكنان ليبرتي فراخوان دادند.

سخنرانان اعدامهاي خودسرانه و جمعي در ايران، محاصره و سركوب اعضاي سازمان مجاهدين در اشرف و ليبرتي و مداخلات رژيم ايران در منطقه به ويژه جنگ افروزي در سوريه  كه بعداز روي كار آمدن حسن روحاني،  رئيس جمهور جديد اين رژيم، ابعاد بيسابقه يي به خود گرفته است را محكوم كردند. آنها تأكيد نمودند  هشت ماه پس از انتخاب روحاني همه علائم بار ديگر اين حقيقت را به اثبات مي رساند كه اين رژيم ظرفيت تغيير و رفرم از درون خود را ندارد چرا كه هر قدمي به سمت تغيير جدي به فروپاشي و سرنگوني آن منجر مي شود.
سخنرانان تأكيد كردند كه چشم بستن بر نقض حقوق بشر در ايران و كشتار ساكنان اشرف و ليبرتي و مداخلات اين رژيم در منطقه به بهانه مذاكرات اتمي مخربترين پيامي است كه مي توان به رژيم داد. اين پيام براي رژيم ايران منعكس كننده عدم جديت جامعه جهاني است و آن را حتي در سرپيچي از توافق اتمي ژنو در نوامبر گذشته نيز تشويق مي كند.
مريم رجوي در اين كنفرانس گفت: نه روحاني يك مدره است و نه رژيم كنوني  ظرفيت رفرم  دارد. من از همان روز اول كه رئيس جمهور جديد ملايان بر سر كار آمد اعلام كردم دم زدن از تغيير بدون تحقق حداقلهايي مانند آزادي كليه احزاب سياسي، آزادي اجتماعات، آزادي بيان و مطبوعات، توقف مداخلات تروريستي و بنيادگرايانه در خارج از ايران به ويژه در سوريه و عراق  و خاتمه دادن به برنامه سلاح هسته يي، سرابي بيش نيست. اما در اكثر اين موضوعات وضع در ايران خرابتر شده است. اعدامهاي جمعي و خودسرانه به نحو وحشتناكي افزايش يافته است و عدد آنها در سال 2014 از 100 و در دوران روحاني از 600 گذشته است كه يك ركورد بيسابقه در سالهاي گذشته است.
مريم رجوي افزود: اين غيرقابل مناقشه است كه رژيم ملاها در مذاكرات اتمي زير فشار يك قدم به عقب برداشت و با توافق  ژنو موافقت كرد. رژيم در هراس بود كه افزايش نارضايتي عمومي همراه با وضعيت وخيم اقتصادي و تحريمهاي بين المللي منجر به قيامهاي عمومي عليه رژيم گردد. اما كم كردن تحريمها و امتياز دادن به ملاها به آنها وقت مي دهد كه در حاليكه پروژه سلاح هسته يي شان را پيش مي برند بحرانهاي اقتصاديشان را مهار كنند  و مخالفت فزاينده عمومي را سركوب نمايند. رجوي تأكيد كرد قطعنامه هاي شوراي امنيت درباره پروژه هاي هسته يي رژيم بايد به طور كامل به اجرا گذاشته شود. از جمله غني سازي و پروژه آب سنگين اراك به طور كامل بايد متوقف شود و رژيم ايران بايد پروتكل الحاقي را  پذيرفته و بازرسيهاي سرزده به جريان بيفتد.
وي افزود: در حاليكه 116تن از ساكنان اشرف در حملات نيروهاي عراقي كشته شده اند، هفت تن ربوده شده و 1375 تن مجروح و مصدوم شده اند و 18 تن در اثر محاصره پزشكي جان باخته اند، سازمان ملل و برخي از دولتها به يك محكوميت ساده و سطحي اكتفا كردند. طي اين مدت هيچ اقدامي در جهت معرفي مجرمان و قرار دادن آنها در مقابل عدالت صورت نگرفته و مهمتر از آن هيچ اقدامي براي تأمين امنيت ساكنان و جلوگيري از فجايع مشابه به عمل نيامده است. آنها حتي مبتكر يك تحقيقات مستقل نشده اند.
05 اسفند

تظاهرات ايرانيان در فرانسه، سوئد و دانمارك

ايرانيان آزاده در كشورهاي فرانسه، سوئد و دانمارك( كپنهاگ و آرهوس) روز شنبه 3 اسفند تظاهرات برگزار كردند.
اين تظاهرات براي آزادي 7 گروگان اشرفي در دست نيروهاي ديكتاتوري مالكي و تامين حفاظت مجاهدان ليبرتي از سوي سازمان ملل و آمريكا  كه تعهد و مسؤليت مشخص در قبال آنها دارند، در مقابل سفارت هاي آمريكا در اين كشورها برگزار شد.
فرانسه - پاريس
سوئد - استكهلم
دانمارك - كپنهاگ
دانمارك - آرهوس

Tuesday, February 11, 2014

‘La Convention des Iraniens’ soutient la Résistance et rejette Rohani (Wall Street Journal)

CNRI – Le 8 février, le Wall Street Journal a publié sur son site Internet un article sur la Convention des Iraniens qui a eu lieu samedi après-midi dans une grande salle proche de l’Arche de la Défense (à l’ouest de Paris) et à laquelle ont participé les représentants de la société civile et des associations iraniennes venus de plus de 20 pays du monde.
Le Wall Street Journal écrit notamment : « Une réunion des représentants de la diaspora iranienne, venus de plus d’une vingtaine de pays et de quatre continents, a appelé aujourd’hui au ‘renversement du régime des mollahs et à l’instauration d’une République démocratique fondée sur la séparation de la religion et de l’État et respectueuse des libertés individuelles et politiques’. »
« La ‘Convention universelle des Communautés iraniennes’ s’est tenu à la veille du 35e anniversaire de la Révolution antimonarchique. Les représentants de plus de 300 associations basées dans différents pays du monde y ont participé. »
« Les délégués ont condamné le bilan du régime de Téhéran, notamment l’exécution de 120.000 prisonniers politiques, l’oppression des femmes et les discriminations touchant les minorités ethniques et religieuses, au nom de la religion. »
« Les délégués ont condamné les exécutions collectives des membres de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) commises au camp d’Achraf 1er septembre 2013. Ils ont également condamné les attaques contre le camp Liberty effectuées avec la complicité du gouvernement de Nouri Al-Maliki. »
« La Déclaration de la Convention a appelé au renversement du régime des mollahs et l’instauration d’une République démocratique. La Déclaration précise qu’Hassan Rohani est une partie intégrante du régime théocratique, qu’il a été impliqué dès le premier jour dans tous les crimes commis par le régime, que la seule mission d’Hassan Rohani est de préserver ce régime et d’éviter son renversement par le peuple. »
 « Les participants à cette Convention ont apporté leur soutien au Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) et ont affirmé que le CNRI est la seule alternative démocratique au régime des mollahs. Ils ont souligné que l’application de la plate-forme de 10 points présentée par Maryam Radjavi, la présidente élue du CNRI, est impératif pour l’instauration d’un régime démocratique en Iran. »
« La Convention a déclaré que les membres de l’OMPI résidant au camp Liberty sont un atout très précieux pour le peuple iranien dans la lutte contre le fascisme religieux et pour parvenir à la démocratie en Iran. Elle a condamné la violation des engagements de la part de l’ONU et les États-Unis qui avaient promis de protéger les habitants du camp Liberty ».
« Madame Radjavi a été l’orateur clé de cette grande Convention. Elle a affirmé que les 35 dernières années du règne du Vélayat-e-faghih a été une « histoire catastrophique qui n’est pas encore terminée ». Mme Radjavi a rappelé que ce régime est un système qui a échoué sur tous les plans et qui est dans sa phase finale. Elle a souligné que la société iranienne est prête à changer ce régime. »

Monday, February 10, 2014

Convention générale à Paris de plus de 300 associations iraniennes d’Europe, des USA et d’Australie

Tout en soutenant le plan en dix points de Maryam Radjavi, la convention appelle la communauté internationale à intervenir d’urgence pour libérer les 7 otages d’Achraf, assurer la sécurité à Liberty et transférer les réfugiés aux USA et en Europe
Maryam Radjavi : Pour atteindre la liberté et la démocratie en Iran, nous insistons sur la démarcation avec le régime dans sa totalité et la solidarité avec tous les vrais partisans du renversement de cette dictature.
 
A la veille du 35e anniversaire de la révolution antimonarchique, les représentants de plus de 300 associations iraniennes dans le monde ont tenu leur première convention générale à Paris. Elle a réuni un vaste éventail d’intellectuels, de militants politiques, des droits humains et des droits des femmes, de scientifiques, d’experts, de professionnels divers, d’étudiants et de membres de minorités ethniques et religieuses d’Iran. La présidente élue de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi, et de nombreuses personnalités politiques éminentes américaines et européennes y ont pris la parole.
Les représentants des associations ont abordé dans leurs discours et leur résolution finale des aspects du bilan funeste de 34 années de régime des mollahs en Iran. Ils ont apporté leur soutien au renversement de la dictature religieuse dans sa totalité, comme le seul moyen d’instaurer la liberté et une république démocratique en Iran, fondée sur la séparation de la religion et de l’Etat. Ils ont pour cela soutenu le plan en 10 points de Maryam Radjavi.
La résolution souligne que la société iranienne se trouve dans une situation explosive et que la théocratie est dans sa phase de renversement. Elle ajoute que le changement de régime est à portée de la main. Rohani, le nouveau président des mollahs, est une partie intégrante du régime du guide suprême. Sa mission est de préserver la dictature et d’empêcher le peuple de la renverser. La coopération des gouvernements étrangers avec ce régime, sous prétexte de renforcer les « modérés » fictifs, et leur mépris des aspirations du peuple à un changement de régime, ont apporté de l’au au moulin de la répression et sont allés contre les intérêts du peuple iranien. Cela aura une influence sur les relations futures de l’Iran avec ses pays, précise la résolution.
Le texte condamne le silence de la communauté internationale face aux violations sauvages et systématiques des droits humains en Iran et aux violations des engagements de l’ONU et du gouvernement américains quant à la protection des habitants du camp Liberty. Il appelle l’ONU, les USA et les pays européens à se mettre aux côtés du peuple iranien au lieu d’aider ce régime, et à agir pour obtenir ses demandes légitimes de renversement de la dictature, de libération des 7 otages d’Achraf, d’assurer la sécurité des habitants de Liberty et de les transférer aux USA et en Europe en tant que réfugiés politiques.
La résolution ajoute : les associations iraniennes réunies dans cette convention sont composées de milliers de spécialistes, d’universitaires, de médecins, d’enseignants, d’intellectuels et de directeurs éminents, venus pour reconstruire, côte à côte avec les spécialistes honorables qui ne se sont pas souillés avec ce régime moyenâgeux, un Iran ravagé par 35 ans de pouvoir religieux.
Maryam Radjavi, présidente élue de la résistance iranienne, invitée d’honneur de ce rassemblement, a déclaré dans son discours que 35 années de régime du guide suprême ont été « le règne d’une catastrophe permanente ». Elle a souligné que ce régime est en pleine débâcle et qu’il est sur tous les plans dans sa phase terminale. Elle a ajouté que la société iranienne est prête pour un changement de régime.
« Notre feuille de route pour réaliser les aspirations de la nation iranienne est un combat total pour le renversement régime des mollahs. Notre objectif est la liberté, la démocratie, l’égalité et l’instauration d’une république fondée sur la séparation de la religion et de l’Etat. Sur cette voie nous insistons sur la démarcation avec le régime dans sa totalité et sur la solidarité avec tous les vrais partisans du renversement de cette dictature », a-t-elle précisé.
Rendant hommage aux efforts des 302 associations iraniennes sympathisantes de la résistance qui ont organisé cette convention, elle a assuré : « Comme je l’ai répété à plusieurs reprises, nous ne cherchons pas à obtenir le pouvoir, ce que nous voulons c’est transférer la souveraineté au peuple iranien. »
Outre les représentants des associations iraniennes, figuraient au nombre des intervenants le Dr Saleh Radjavi, président de la commission de la santé du CNRI, Struan Stevenson, président de la délégation du parlement européen des relations avec l’Irak, Bernard Kouchner, ancien ministre des Affaires étrangères (2007-2010), Patrick Kennedy, membre du Congrès américain (1995-2011), Frances Townsend, conseillère de la Maison Blanche pour la sécurité intérieure et le terrorisme (2004-2008), John Bolton, ancien ambassadeur américain à l’ONU (2005-2006), Marc Ginsberg, ancien ambassadeur américain au Maroc (1994-98), et Emile Blessig, ancien député du  Bas-Rhin.

La convention générale des Iraniens à Paris dénonce le régime des mollahs

AFP - Des représentants de plus de 300 associations iraniennes d'Europe, des États-Unis et d'Australie se sont rassemblés samedi 8 février à Paris pour dénoncer le régime des mollahs.

Au terme de cette première "convention générale", les représentants de ces associations, composées d'universitaires, médecins, enseignants, intellectuels, ont adopté une résolution dans laquelle ils apportent leur soutien "au renversement de la dictature religieuse dans sa totalité, comme le seul moyen d'instaurer la liberté et une république démocratique en Iran, fondée sur la séparation de la religion et de l'État", selon le communiqué du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), dont les Moudjahidine du peuple sont la principale composante.
"La résolution souligne que la société iranienne se trouve dans une situation explosive et que la théocratie est dans sa phase de renversement. Elle ajoute que le changement de régime est à portée de la main", poursuit le communiqué.

Le texte condamne en outre "le silence de la communauté internationale face aux violations sauvages et systématiques des droits de l'homme en Iran et aux violations des engagements de l'ONU et du gouvernement américain quant à la protection des habitants du camp Liberty" qui abrite des réfugiés iraniens en Irak.

Le camp Liberty a été bombardé par des dizaines de roquettes le 26 décembre dernier, tuant quatre opposants iraniens et blessant 70 autres habitants, selon le CNRI.

Maryam Radjavi, présidente de la résistance iranienne et invitée d'honneur du rassemblement à Paris, a qualifié les "35 années de régime du guide suprême" comme "le règne d'une catastrophe permanente" et assuré que le régime était "dans sa phase terminale".